Eric Brocherie
Ses œuvres disponibles
Vit et travaille à Paris
Biographie
Eric Brocherie
Autodidacte, d’abord musicien, Eric Brocherie rencontre le design graphique en 1986. Cet univers visuel lui a ouvert les portes de l’art, la typographie et la pop culture. Fasciné, il a été boulimique et curieux de culture artistique et graphique.
Entre 1991 et 2018, il co-fondera les ateliers de design « La 5e Colonne », « Shaman l’atelier graphique », « Franklin » (tous spécialisés dans la mode et le luxe) et « the French Title » (spécialisé dans le générique de long-métrage).
Il participe aussi à l’avènement d’Internet, en faisant parti des pionniers, en organisant des événements artistiques entièrement digitaux tel Cybertags en 1998, mais aussi en créant les premiers sites internet de pure players et aussi de marques comme la Fondation Cartier ou Charles Jourdan.
Il rencontre, pendant cette période, Cédric Klapisch et réalise son premier générique pour “Chacun cherche son chat” en 1996.
Fan de cinéma et de musique, cela lui permet d’exprimer ses passions pour l’image animée, la réalisation, le montage, la musique et la typographie à travers cet exercice de style particulier du générique, vrai mélange pluridisciplinaire.
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Depuis il a réalisé tous les génériques de Cédric Klapisch (L’auberge espagnole, Les poupées russes, Casse-Tête Chinois, Paris, En corps, …) et a également travaillé avec Jacques Audiard, Yvan Attal, Marion Vernoux, Gaspar Noë, Eric Rochan et d’autres.
Pendant ces années, il a partagé son temps entre son métier de directeur artistique spécialiste du luxe et de la mode et celui de créateur de génériques.
En parallèle de son travail de directeur artistique, il a mis à profit son expérience et sa culture visuelle et typographique pour se lancer dans une démarche plus personnelle et artistique et créer des œuvres digitales singulières qu’il décide aujourd’hui de dévoiler.
La typographie, le mouvement, la vitesse, l’usure, le délabrement, sont les thèmes principaux de son travail d’abstraction. L’émotion ressentie devant de l’abstrait l’a toujours fasciné.
Ses influences, non exhaustives, sont diverses et vont de David Carson à Kandisky, du Bahaus à Jackson Pollock, de Neville Brody à Jean-Pierre Basquiat, …
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